Comme chacun sait, notre chat est un carnivore, certain ajoutant « strict ». Cela signifie qu’il se nourrit normalement dans la nature de proies vivantes qu’il dévore immédiatement après les avoir attrapées. Mais alors comment bien nourrir son chat ?
Contrairement au chien qui, par sa filiation avec le loup et sa très longue cohabitation avec l’homme peut accepter un régime alimentaire moins strict. Le chat n’est absolument pas charognard et n’est pas (encore) physiologiquement adapté à la nourriture cuite ou très dosée en végétaux.
Un besoin vital en protéines animales
La quantité nécessaire de protéines pures pour le chat est de 4 à 6 grammes par kg et par jour. Soit, pour un animal de 3 kg, de 12 à 18 grammes de protéines pures par jour.
Ces quantités concernent un chat actif et pas la chatte en gestation ou lactation, ni le chaton en pleine croissance.
Dans tous les cas, le chat régule sa nourriture de lui-même. Lors du passage de la nourriture industrielle à de la nourriture « naturelle », il est possible que l’animal continu à manger beaucoup en quantité, toutefois, cette tendance s’estompe en quelques jours.
L’alimentation très dosée en protéines de qualité est très rapidement digérée (l’appareil digestif du chat étant très court). Il est donc possible que le chat revienne rapidement quémander de la nourriture après avoir terminé sa gamelle. Si cela se produit, on lui donnera quelques miettes d’aliments naturels, ce qui le rassurera. L’essentiel étant de lui fournir des protéines de qualité en quantité adaptée.
Chez Sally et Cie, nous proposons un « Pack Mensuel », constitué de trois sachets :
Le premier contient 250 gr de filet de dinde avec 90 % de protéines crues.
Le second de 250 g de cuisse de poulet avec prêt de 60 % de protéines crues, 34 % de graisses non chauffées et un fort taux de taurine (1900 mg/kg).
Le troisième sachet contient un mélange de coeur et de foie riche en taurine et en vitamines.
Ce pack permet de (bien) nourrir un chat de taille normale (3 à 4 kg) pendant un mois environ, en prenant bien soins de ne lui donner que la quantité nécessaire correspondant à son poids (mais qu’il devrait, comme nous l’avons déjà vu, réguler lui-même).