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Les seules croquettes BARF du marché !

Lexique

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Le lexique de Sally & Cie

Acides aminés (AA)

Ce sont les composants des protéines, ils forment des chaines plus ou moins longues. Certains acides aminés sont indispensables à ce pur carnassier car ils permettent au chat de transformer les protéines en glucose qui est un sucre indispensable au fonctionnent des cellules (celles du cerveau en particulier). C’est ce que les scientifiques nomment la glycogénogenèse. La viande crue fournit au chat tous les acides aminés dont il a besoin.

Une carence dans l’un des AA essentiels peut avoir, à terme, des conséquences dramatiques : les AA soufrés permettent entre autres la gestion des lipides et protègent ainsi le foie, la carence en taurine rend tout simplement le chat aveugle !

Les acides aminés contenus dans la viande sont les amies du chat, pour la vie !

Acides aminés essentiels

Il s’agit des AA que le chat trouve naturellement dans la viande de ses proies, et dont il a absolument besoin car son organisme ne peut les produire.

Toute nourriture destinée au chat doit comprendre les 11 AA suivants : arginine, histidine, isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, tryptophane, valine et taurine.

Les industriels rajoutent donc des AA de synthèse dans leurs croquettes.

Chez Sally & Cie nous sommes adeptes de la nourriture naturelle et votre chat trouvera naturellement ses 11 AA essentiels dans nos croquettes BARF.

Additifs

La liste des additifs figure sur les paquets de croquettes et se veut rassurante.

En réalité c’est la liste de tout ce que les croquettes ne contiennent pas naturellement ! En effet les croquettes industrielles, du fait de leur mode de fabrication, sont très pauvres d’un point de vue nutritionnel. Il faut donc y rajouter tout ce qui est indispensable au chat : vitamines, acides aminés, taurine, oligoéléments (fer, zinc, cuivre, manganèse, sélénium), …

En outre pour conserver et vendre les croquettes il faut y rajouter des additifs techniques : anti oxydants, solvants, agents appétant, colorants …

Le problème c’est que tous ces additifs sont des produits de synthèse très souvent fabriqués dans des usines lointaines…

Amidons / amidons modifiés

L’amidon est un glucide complexe (sucre) qui constitue une ressource calorique importante chez l’homme, mais n’a aucun intérêt pour un carnivore strict comme le chat.

Il est parfois chimiquement modifié (amidon modifié). Le chat le digère mal, faute d’amylase pancréatique adaptée. Des quantités relativement faibles d’amidon peuvent suffire à troubler sa digestion.

L’amidon des croquettes est apporté par les céréales, les pois, les pommes de terre, la betterave… L’industrie utilise abondamment l’amidon car la technologie est incapable de fabriquer des croquettes sans cette « colle naturelle ».

Les croquettes BARF de Sally & Cie ne contiennent ni amidon ni glucides. Elles se “tiennent” sans apport de colle grace à la lyophilisation.

BARF (Biologically Appropriate Raw Feeding)

Le BARF est l’acronyme anglais de « Nourriture crue biologiquement appropriée » (aux animaux). Cette idée fut développée par les vétérinaires Billinghurst et Lonsdale qui,constatant l’augmentation des maladies causées par les croquettes industrielles, se sont demandés quelle était la nourriture la plus appropriée pour un chat ou un chien.

Ils en sont venu à la conclusion toute simple : le métabolisme du chat (et du chien) est optimisé pour une nourriture crue. S’agissant du chat, la nourriture la mieux adaptée est donc la viande crue, la nourriture naturelle du chat.

Cendres

Parties minérales d’un aliment, ce qui reste si on brûle le tout (à 450 ° !).

Ces minéraux (phosphore, calcium…), sont naturellement présents dans la viande et les os et sont nécessaire au chat. Toutefois un taux supérieur à 10% de cendres peut être révélateur d’une nourriture comportant plus de carcasses que de viandes.

Céréales

Végétaux contenant des glucides et des fibres, mais aussi, en quantité variable, des protéines et des lipides.

Les Hommes en consomment beaucoup depuis l’invention de l’agriculture (-10 000 ans) et c’est bon pour leur santé.

Les chats n’en mangent jamais.

C’est précisément pour cette raison que l’homme a adopté le chat : il ne menaçait pas les réserves de grain et chassait les rongeurs qui eux, en raffolent. L’aversion du chat pour les céréales en a fait le protecteur des récoltes. Il fut même considéré comme un Dieu par les Égyptiens qui les premiers utilisèrent le chat pour garder leurs entrepôts et leur foyer. Voir aussi « sans céréales »

Chat haret

Les chats harets sont des chats domestiques (felis catus) qui vivent en liberté sans contact avec l’homme.

Il ne faut pas les confondre avec les chats errants (chat féral) qui bien que vivant eux aussi en liberté, gardent des contacts avec les populations humaines (qui les nourrissent). Ils se distinguent aussi des chats sauvages européens (felis silvestris silvestris) lesquels constituent une espèce différente.

Comme le chat haret est strictement identique à nos matous, son étude a permis de connaître précisément quel est le régime alimentaire naturel de nos chat domestiques.

Voir : Nourriture naturelle du chat domestique.

Croquettes

Aliment créé par les industriels pour nourrir les animaux domestiques.

Les croquettes sont fabriquées par un procédé ultra industriel (extrusion) mettant obligatoirement en œuvre de l’amidon qui sert de « colle ». Les ingrédients sont broyés, mélangés et soumis à une très forte pression puis cuits à plus de 100°C (souvent 130°C). On insuffle alors de l’air qui gonfle la croquette avant de procéder au séchage. Les croquettes sont alors enrobées d’huile et d’adjuvants divers dont des agents appétant.

La haute pression et les températures élevées modifient considérablement les qualités nutritionnelles et la structure moléculaire des aliments mis en œuvre. Des ingrédients de qualité médiocre et un procédé de fabrication agressif font de la croquette industrielle un aliment sans grand intérêt nutritionnel. C’est pourquoi, afin de rendre leurs croquettes acceptables, les industriels doivent rajouter quantité d’additifs de synthèse.

Chez Sally & Cie, nos aliments ne sont pas à proprement parler des croquettes, puisqu’il s’agit uniquement de morceaux de viande crue lyophilisée.

Cru

La nourriture naturelle du chat est crue.

Son système digestif, ses défenses immunitaires, sont conçus pour la viande crue.

Sans doute que la viande cuite n’est pas très nocive pour le chat, mais on sait que la cuisson transforme ou détériore les nutriments. La cuisson détruit les vitamines, transforme les sels minéraux, caramélise les glucides, fait fondre les lipides, et coagule les protéines. Chez l’homme cela peut être bénéfique en améliorant la digestibilité des aliments.

Chez le chat en revanche la cuisson a peu d’intérêt dans la mesure ou son système digestif est exactement adapté à l’assimilation rapide des protéines animales crues.

Chez Sally & Cie toutes nos croquettes sont composées de viandes et de poissons absolument crues.

Darwin (Charles)

Biologiste anglais (1809-1882), auteur de la théorie de l’évolution qui explique que tout être vivant s’adapte nécessairement à son milieu.

Ainsi, par exemple, le métabolisme du thon s’est, très exactement, adapté à la consommation de sardines et de maquereaux, qui constituent sa ressource disponible. De même la vache a un système digestif parfaitement adapté à la consommation d’herbe.

Le chat domestique descend du chat sauvage africain, « Felis silvestris lybica ». Cette sous-espèce de chat sauvage est répandue en Afrique du Nord et au Moyen. Les recherches génétiques ont montré que tous les chats domestiques partagent un ancêtre commun avec le chat ganté africain. 

L’organisme du chat, sa taille, ses griffes, son tube digestif, sa physiologie en général se sont exactement adaptés à la seule ressource disponible : les petits rongeurs nocturnes et quelques oiseaux. L’organisme du chat n’a besoin de rien d’autre, car c’est sa nature. Si jamais un chat avait eu besoin un jour de courgettes ou de glucides, la loi de l’évolution l’aurait éliminé depuis des centaines de milliers d’années.

Respecter la nature d’une vache c’est refuser de lui donner des farines animales, respecter la nature du chat, c’est ne pas lui donner des farines végétales.

Déshydratation (des aliments)

Aliment dont on retire une partie de son eau, en général pour favoriser sa conservation.

Les divers procédés de déshydratation industriels comportent des phases de chauffage qui transforment le goût des aliments et modifient plus ou moins sa composition nutritionnelle. Seule la lyophilisation conserve l’intégralité des nutriments de la viande ou du poisson.

Déshydratation (du chat)

C’est un risque important à terme si on le nourrit uniquement à partir de croquettes sèches.

Le chat est un animal du désert qui trouve l’eau dont il a besoin dans ses proies (qui contiennent naturellement 70 à 80% d’eau). Il n’a pas l’habitude de boire beaucoup, car l’eau est rare dans le désert. Pour éviter les problèmes urinaires et les calculs rénaux, il est recommandé de lui donner une nourriture « humide ».

C’est pour cette raison que nous recommandons de réhydrater abondamment les croquettes BARF de Sally & Cie : elles sont conçues pour ça !

Etiquettes

La plupart des étiquettes des produits industriels mettent en avant des produits naturels ou vantent les qualités nutritionnelles voir thérapeutiques de leurs croquettes.

Malheureusement la lecture des compositions et des analyses montre que ces dernières sont souvent lacunaires (taux de glucides notamment) voir mensongères. Une enquête de 2019 de la DGCCRF a montré que 40% des 141 produits analysés comportaient des anomalies, un fabricant a même été renvoyé directement devant le tribunal !

Farines

Elles sont végétales ou animales. Elles n’ont pas grand-chose à faire dans l’alimentation naturelle du chat.

Les farines animales sont réalisées à partir de sous-produits animaux qui ont été cuits à plus de 100 °C avant d’être broyés. La cuisson, on le sait, dégrade les vitamines et transforme les nutriments, mais pour l’industrie en recherche de rentabilité, c’est pratique et pas cher.

Fibres

Par anthropomorphisme, le marketing des industriels ou parfois des gens de bonne foi, exposent que les fibres seraient indispensables au bon transit intestinal du chat.

Elles sont solubles ou insolubles, mais le chat ne mange jamais naturellement de fibres végétales, car son système digestif, très court, est conçu pour digérer rapidement les protéines. Le chat est un carnivore strict, comme le grand requin blanc ou le tigre. Qui songerait à donner des brocolis à un tigre afin de faciliter sa digestion ?

L’intérêt des fibres chez un chat nourrit naturellement de bonnes protéines animales n’a jamais été démontré et en matière de fibres, le chat avale bien assez de ses propres poils comme ça !

 

Fruits

Source de fibres et de vitamines pour l’homme.

Leur intérêt n’a jamais été démontré pour le chat qui n’en mange jamais, sauf accidentellement, lorsqu’ils se trouvent dans l’estomac d’une proie.

En très petites quantités, ne peut être nocif et apporte quelques vitamines.

Glucides

Sucres d’origine végétale (céréales, légumineuses).

L’organisme du chat n’est pas adapté à la consommation des sucres au point que son palais n’en reconnaît même pas le goût !

Il a d’autant moins besoins de sucres, qu’il fabrique lui-même le glucose indispensable au fonctionnement de ses cellules. Cette réaction, il la réalise à partir…des protéines, c’est la néoglucogenèse.

Certes, les traitements industriels (cuisson forte) peuvent rendre les glucides plus assimilables pour le chat, sans que l’on ait toutefois démontré le moindre intérêt nutritionnel de cet apport massif de sucres. Les glucides sont, en revanche, souvent mis en cause dans le développement du diabète et de l’obésité du chat. Les glucides, même ultra transformés industriellement, sont sans grand intérêt pour un carnivore strict comme le chat dès lors qu’il dispose d’une bonne source de protéines animales (voir aussi amidon).

Il n’est pas raisonnable, et pas du tout naturel de donner à son chat un aliment contenant plus de 10% de glucides.

Les industriels ne mentionnent quasiment jamais le taux de glucides de leurs croquettes !

Gluten

Protéine produite issue des céréales.

Cette protéine est insoluble, verdâtre, gélatineuse.

Elle est utilisée par les industriels pour afficher un taux « honorable » de protéines brutes dans leurs croquettes. Malheureusement, pour un chat, le bénéfice est quasi nul car c’est une protéine qu’il assimile peu ou pas et à laquelle il peut se révéler intolérant.

Lipides

Il s’agit tout simplement du gras.

Les lipides contiennent notamment les acides gras essentiels. Le métabolisme du chat est évidemment conçu pour assimiler les lipides d’origine animale, et il mange gras : un rat peut comporter jusqu’à 40% de lipides !

Les acides aminés soufrés permettent au chat de gérer les lipides. Une nourriture riche en viande lui permet d’ingérer de grandes quantités de lipides animaux sans risque de surpoids.

Les huiles végétales n’ont pas montré de toxicité pour le chat, mais vu que depuis des millions d’années il n’en consomme pas, pourquoi commencer aujourd’hui ?

Lyophilisation

C’est un procédé qui permet de retirer l’eau présente dans un produit. Afin qu’il soit stable et à température ambiante ce qui facilite sa conservation.

Le phénomène de sublimation (base de la lyophilisation) permet au produit de garder son volume et son aspect initial ainsi que ses propriétés nutritionnelles.

Ce procédé est très long (il dure entre 36 et 48 h), mais il permet une extraction douce des molécules d’eau contenues dans les aliments.

 

Trois phases principales :

-La congélation qui détermine la structure du produit lyophilisé

– La dessiccation primaire dont la bonne conduite permet de préserver sa qualité

​- Enfin la dessiccation secondaire qui permet en travaillant toujours sous vide et à une température positive (le produit sec supporte des températures plus élevées que le produit humide) d’obtenir des humidités résiduelles très basses (inférieures à 2%).

Nourriture naturelle du chat domestique

Des études scientifiques ont été menées pour savoir ce que mangent nos chats domestiques lorsqu’ils sont livrés à eux même dans la nature.

La réponse est unanime : de la viande, encore de la viande et rien que de la viande. On a observé aussi que le chat était un carnassier opportuniste, s’adaptant aux proies à sa disposition, ici se sera les lapins, là les oiseaux, encore ailleurs les rongeurs (rats souris).

Des études très précises ont pu être menées sur les îles de Porqueroles et Port-Cros en analysant systématiquement les fèces des chats.

On y trouve en majorité des restes de rat noir, souris et mulot (60-80%), de Puffin de méditerranée, qui est un oiseau marin, (15-30%) mais aussi des reptiles (lézards, serpents) ainsi que des (gros) insectes (orthoptères et coléoptères). L’étudiante chercheuse, Mme Elsa Bonnaud, confirme l’absence de consommation volontaire de végétaux : « leur consommation semble accidentelle ou attribuée plus à leur fonction de purge qu’à leur apport nutritionnel : ils sont souvent retrouvés non digérés dans les fèces » (« Écologie alimentaire du chat haret felis catus, prédateur introduit sur les îles d’hyères » Université Paul Cézanne)

Bref : le chat est un carnivore strict qui n’a besoin que de viande!

Nutrition du chat

Sur internet et dans les livres, chacun va de ses bons conseils et théories plus ou moins sérieuses pour vanter la qualité de ses croquettes ou de sa pâté. A chacun ses idées et à chacun son goût…du marketing.

On peut toutefois retenir 3 points scientifiquement établis.

1) Seule la viande (et le poisson) apportent en quantité suffisante tous les acides aminés nécessaires au chat. En effet, viandes et poissons ont une composition parfaitement équilibrée en acides aminés. L’équilibre en acides aminés est une donnée capitale car si un acide aminé essentiel manque, c’est l’ensemble de la synthèse protéique qui se trouve limitée.

Les protéines des céréales sont en revanche déséquilibrées en acides aminés, trop pauvres en lysine notamment. Les protéines issues du maïs sont carencées lysine et tryptophane, la méthionine manque aux légumineuses . La pomme de terre, elle, est bien trop pauvre en protéines pour satisfaire un chat.

Enfin l’indispensable taurine ne se trouve que dans les produits animaux (muscles striés, cœur et cerveau)

2) Les lipides d’origine animale sont composés majoritairement d’acides gras polyinsaturés et sont riches à la fois en oméga 3 et 6.

L’huile de coco (acide gras saturé) contient moins 2% d’oméga 6 et moins de 0,1% d’oméga 3 ; l’huile d’olive contient essentiellement un oméga 9 inutile pour le chat et trop peu d’oméga 6 et 3.

Les huiles végétales ne peuvent couvrir seules les besoins du chat en acides gras essentiels.

3) La cuisson diminue la digestibilité des acides aminés essentiels et détruit en partie les vitamines, surtout à des températures supérieures à 100 degrés.

Tout cela est logique : l’alimentation naturelle du chat est la viande crue. Votre chat peut bien sûr la consommer sous la forme de croquettes BARF.

Poulet

Volaille qui se rapproche beaucoup de la nourriture naturelle du chat…à condition de ne pas lui réserver que les bas morceaux !

Les croquettes BARF de Sally & Cie ne contiennent que des morceaux nobles à 95% ou 100% (filets ou cuisses). Nous n’incorporons jamais ni les carcasses ni les pattes, trop pauvres en muscle.

Pourcentage de viande

La déclinaison de la règlementation Européenne permet les subtilités suivantes sur les étiquettes :

Au poulet (à la dinde, au bœuf, au saumon…) : Appellation autorisée dès lors que la préparation contient au moins 4% du produit cité. C’est comme une boîte de sauce tomate qui contiendrait en tout et pour tout qu’une seule tranche de tomate !

Riche en poulet (en dinde, en bœuf, en saumon) : Appellation autorisée dès lors que la préparation contient au moins 14% du produit cité. C’est comme une boîte de sauce tomate qui contiendrait en tout et pour tout qu’une seule (petite) tomate !

Chez Sally & Cie :

“cuisse de poulet” signifie 95 % de … cuisse de poulet.

“Filet de dinde” signifie 95 % de … filet de dinde.

“Filet de sardines” signifie 100 % de … filet entier de sardines.

Et ainsi de suite, ce qui figure sur le paquet est exactement ce que le sens commun comprend. On ne joue pas sur les mots.

Protéines animales

Les protéines sont des chaines d’acides aminés absolument indispensables au chat pour qui c’est un élément vital.

Le chaton comme le chat sénior, ou le chat stérilisé ont tout autant besoin d’un apport massif de protéines animales au quotidien (un poil de chat est composé à 86% de protéines !).

Une nourriture pour chat, digne de ce nom, doit comporter plus de 45% de protéines animales au minimum. (voir acides aminés)

Protéines hydrolysées

Procédé chimique qui décompose les protéines.

Les protéines hydrolysées sont en général obtenues à partir de sous-produits animaux ou végétaux.

Protéines végétales

Elles sont abondamment utilisées dans les aliments industriels car elles coûtent bien moins cher que les protéines animales, il s’agit souvent de colza, maïs ou de lentilles.

Leur digestibilité par le chat reste médiocre même après des traitements industriels (trempage cuisson).

Défaut majeur, les protéines végétales ne correspondent pas aux besoins du chat, car certains acides aminés vitaux pour le chat sont manquants ou rares (méthionine, taurine, …) et d’autres ne lui servent à rien.

Un chat ne peut être Végan !

Races de chat

Les “races” de chat ont été créées il y a à peine un siècle, par la reproduction de chats sélectionnés par l’homme en fonction de critères esthétiques.

Toutes les races de chat appartiennent donc à la même espèce : félis catus.

Pour cette raison, tous les chats domestiques ont exactement le même métabolisme et les mêmes besoins physiologiques. Inutile donc d’acheter des croquettes prétendument adaptées à la race de votre chat, ses besoins ne varient qu’en fonction de sa taille et de son activité.

Rapport protéines sur phosphore (P/PH)

Cet indicateur donne une idée de la qualité des protéines contenues dans l’alimentation animale selon le professeur S. Lefebvre* (docteur vétérinaire et docteur en biochimie).

Pour le calculer, il suffit de diviser le pourcentage de protéines de l’aliment par le pourcentage de phosphore. Exemple 36% de protéines pour 0,9% de phosphore donnera (36/0,9) = 40

Plus le rapport est élevé, meilleure est la qualité des protéines. En effet, le phosphore se trouve particulièrement dans les os. Aussi, un rapport Protéines /phosphore faible indique une forte présence d’os (carcasses, pattes …). Inversement, s’il y a beaucoup de viande (muscles) le rapport donnera un chiffre important. Selon le professeur Lefebvre, le rapport P/PH est de 35 en moyenne chez les industriels, et 45 chez les marques vétérinaires.

Les croquettes BARF du mixte spécial chatterie de chez Sally&Cie, affichent un rapport de 77, le filet de dinde 111 !

*Cours de nutrition vétérinaire du chien et du chat Sebastien Lefebvre (Ecole vétérinaire de Lyon, Vetagro sup)

Rapport protidocalorique (RPC)

Le RPC indique la quantité de protéines disponibles (en grammes) pour un million de calories (Mcal). Il s’agit donc de la concentration en protéines d’un aliment. Si le RPC est élevé, cela signifie que l’aliment contient beaucoup de protéines. Inversement si le RPC est faible, c’est le signe que l’aliment contient peu de protéines rapportées au nombre de calories.

Les besoins quotidiens en protéines pour un chat sont d’environ 5,5 g par kilo. Un chat de 4kg aura donc besoin de (4×5,5) = 22g de protéines par jour.

Si un aliment à un RPC faible, le chat sera contraint d’ingurgiter de grandes quantités d’aliment (et donc de calories) pour couvrir son besoin vital en protéines, il risque alors le surpoids et toutes les maladies qui en sont la conséquence.

Si son maitre limite la quantité de nourriture de son chat, pour éviter l’obésité, le chat va alors manquer de protéines, développer des carences et finir par mourir.

Le RPC est donc un critère fondamental pour la nourriture du chat : l’aliment doit avoir un RPC élevé pour apporter au chat les protéines dont il a besoin sans trop de calories.

Le RPC d’un aliment pour chat stérilisé inactif doit être au minimum de 100, un chat actif peut se contenter d’un RPC de 80, car il brûle beaucoup de calories en chassant.

Selon les études du professeur professeur S. Lefebvre*, les croquettes industrielles présentent en moyenne un RPC de 80, contre 100 pour les meilleures marque « vétérinaires ».

Le mélange spécial chatterie de Sally&Cie affiche un RPC de 134 !

Un chat nourri avec les croquettes BARF Sally&Cie a besoin de peu de calories pour couvrir ses besoins en protéines.

Calcul du RPC

Le calcul est le suivant : pourcentage de protéines / nombre de kcal pour 100g x 1000 (on multiplie par 1000 pour convertir les Kcal en Mcal).

Exemple 40% de protéines dans un aliment apportant 500 kcal pour 100g

40 / 500 x 1000 = 80 de RPC

*Cours de nutrition vétérinaire du chien et du chat Sebastien Lefebvre (Ecole vétérinaire de Lyon, Vetagro sup)

 

Sans céréales

Les céréales ne constituent évidemment pas une nourriture naturelle pour le chat.

Elles sont soupçonnées d’être globalement néfastes de pour le chat et entre autres, de diminuer le taux de taurine, comme de modifier la flore intestinale, cause d’inflammations ou d’allergies. On voit donc aujourd’hui fleurir des croquettes « sans céréales » ou « gluten free ».

Il ne s’agit que d’un pur argument marketing. En effet, les céréales sont remplacées alors par des pommes de terre, pois, lentilles et autres légumineuses qui contiennent tout autant sinon davantage de glucides !

Sous-produits animaux

Les industriels des croquettes et des pâtées pour chat, voudraient qu’on les appelle « co-produits animaux » pour gommer l’aspect dépréciatif de la dénomination actuelle. Ils prétendent encore qu’il s’agit d’une bonne source de protéines animales, et les utilisent dans leurs croquettes.

En réalité, il s’agit de rebus d’abattoirs non destinés à la consommation humaine. Le règlement européen CE 1069/20009 dans ses articles 10 et 34 définit les sous-produits animaux pouvant entrer dans la composition des aliments pour chat, il s’agit : « des carcasses d’animaux écartés comme étant impropres à la consommation humaine, mais qui sont exempts de tout signe de maladie, des têtes de volailles, les cuirs et les peaux, y compris les chutes et rognures, les cornes et les pieds, les soies de porcs, les boues de centrifugeuses à lait, le sang, le placenta, les carapaces de crustacés ou coquilles de mollusques présentant des corps mous ou de la chair, les sous-produits d’œufs, y compris les coquilles… » Bon appétit !

S’agissant de déchets d’abattoirs, les sous-produits animaux n’ont rien de toxique, mais la qualité des protéines, en absence de muscle, doit être considérée comme médiocre. En général ces sous-produits sont réduits en farine et utilisés sous cette forme dans les croquettes.

Chez Sally& Cie, nous pensons qu’aucune nourriture pour chat, ne devrait comporter ce type « d’aliment ».

Spécialistes en nutrition

Il y a de tout, des vétérinaires, des amateurs plus ou moins éclairés, et des universitaires très sérieux.

Parmi ces derniers, certains sont rémunérés par l’industrie de la « pet food » pour vanter la qualité de la nourriture industrielle. Leurs expérimentations cherchent à démontrer que les sous-produits animaux, le gluten et les légumes mis en œuvre dans les usines à croquettes sont meilleures pour la santé des chats que leur nourriture naturelle (viandes)…

Question : quelle serait la décision d’un tigre s’il devait choisir entre manger un fabricant de croquettes ou les croquettes « parfaitement équilibrées » dudit fabricant ? Voir Darwin.

Végétaux

Céréales, fruits, légumes sont des végétaux comestibles.

S’ils sont indispensables à l’Homme, le chat n’en mange jamais dans la nature. Les industriels en usent et en abusent car ces produits coûtent moins cher que la viande.

Par anthropomorphisme, on laisse entendre au consommateur que ces végétaux seraient une source indispensable de vitamines ou de fibres pour le chat, ce qui n’est pas exact.

En effet, les végétaux ne font pas partie de la nourriture naturelle du chat. Si l’on peut parfois observer un chat croquant une herbe, c’est pour se purger, pas pour se nourrir !

En dévorant ses proies le chat peut absorber accidentellement le contenu de leur estomac (grains, fruits, légumes). C’est pour cette raison que certaines nos croquettes BARF contiennent 5% de légumes (bio). Cela étant dit, personne n’a démontré que le fait d’ingérer le contenu des estomacs de ses proies avait un quelconque bénéfice nutritionnel pour le chat.

Viande

Pour l’Union Européenne, il s’agit de toute partie comestible d’un animal, y compris le sang.

En principe il devrait s’agir exclusivement de muscle. Sa seule mention sur l’étiquette de votre sachet de croquettes ne donne donc que des renseignements extrêmement vagues sur les produits réellement mis en œuvre par l’industriel.

Viande et sous-produits animaux

Cette appellation compte pour un seul aliment dans la composition des croquettes ! Il est donc impossible pour le consommateur de savoir quelle est la proportion de viande (muscles) et la proportion de sous-produits animaux (carcasses, viscères, pattes et pieds).

Viande séchée

Voir : déshydratation des aliments

Viande séparée mécaniquement (VSM)

Selon la législation européenne, ce sous-produit des abattoirs n’a pas le droit à l’appellation « viande ».

Les carcasses d’animaux sont broyées puis la mixture est soumise à de hautes pressions pour traverser un tamis à la grille plus ou moins fine.

La VSM n’est pas nocive, mais ses qualités nutritionnelles sont bien inférieures à celles de la vraie viande. Voir aussi étiquettes

Viande hydrolysée

Voir : protéines hydrolysées

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